top of page

BIENVENUE DANS L'ESPACE PRESSE ET PUBLICATIONS

                                         

Si vous avez envie de venir nous  rencontrer  sur le terrain, ou si vous avez besoin de toute information complémentaire, contactez-nous :

E-mail: association.lesdesherites@yahoo.fr

Tel:  00(33) 6 51 05 36 70   ou 00(33) 06 21 26 10 26 France

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

​

​

​

​

 

 

 

 

​

​

​

​

​

​

​

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

​

​

​

​

​

​

​

​

​

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

​

 

 

 

 

 

​

​

​

​

​

​

 

 

 

​

 

 

 

 

 

​

  • Facebook Social Icon
  • Twitter Social Icon
  • Google+ Social Icon
  • YouTube Social  Icon
  • Pinterest Social Icon
  • Instagram Social Icon

- Les langues nationales

​

Par rapport aux langues congolaises, les langues nationales — kikongo, lingala, kiswahili et tshiluba — bénéficient d’une plus large audience, d’un plus grand développement et d’une plus grande expansion au plan national grâce à l’Administration, la justice, les écoles primaires, les médias et l’évangélisation. Les quatre langues nationales découpent le pays en quatre grandes aires linguistiques. 

​

- Le swahili ou kiswahili est parlé comme langue seconde par 9,1 millions de locuteurs dans les provinces de l’Est, notamment le Kivu du Nord et le Kivu du Sud, le Maniema, le Katanga et le sud de la Province-Orientale. Si l'On ajoute ceux qui parlent le swahili comme langue seconde, c'est environ 40 % de la population congolaise qui peut s'exprimer dans cette langue, ce qui en fait aussi la langue la plus parlée du pays.

- Le lingala est la langue maternelle de deux millions de locuteurs et de sept millions d'autres qui l'utilisent comme langue seconde. C'est la deuxième langue d'importance, surtout dans les provinces de l'Équateur, ainsi que du nord de l'Orientale et du sud du Bandundu.  Le lingala est surtout la langue véhiculaire grâce à laquelle il est possible de communiquer et se faire comprendre dans presque tout le pays.

- Le kikongo ou kikonco, avec ses deux millions de locuteurs, est utilisé principalement dans les provinces du Bas-Congo, du Bandundu et à l'ouest du Kasaï occidental. Il existe aussi un kikongo dit «commercial» appelé «kituba» et normalement utilisé par l'administration dans le Bandundu.

- Le tshiluba ou tchilouba (ou luba-kasaï) est pratiqué par quelque  6,3 millions de locuteurs dans les deux Kasaï (occidental et oriental) et dans le nord du Katanga.

​

Ces langues de grande diffusion se sont imposées avant la colonisation; elles sont aujourd'hui utilisées comme langues maternelles et comme langues secondes par au moins 30 millions de Congolais (de 75 % à 80 % de la population). Elles sont employées par les couches sociales les plus scolarisées et les plus urbanisées à titre de langues supra-régionales ou pour la communication inter-ethnique dans les villes. Trois des langues nationales congolaises, le lingala, le swahili et le kikongo, sont de formation récente. Leur histoire est liée à celle de la colonisation du Congo et, en principe, elles n’appartiennent en propre à aucune communauté ethnolinguistique du pays. Cet avantage leur permet, surtout au lingala et au swahili, de jouer leur véritable rôle de langues véhiculaires. Quant au tshiluba, c’est une langue qui remonterait au XVe siècle et est davantage liée aux principales communautés qui la parlent: les Baluba dans l'est du Kasaï et les Bena Lulua dans l'Ouest

​

- La langue officielle

Dans le projet de Constitution de novembre 1998, quatre articles concernaient l’emploi des langues. L’article 6 traitait du statut des quatre langues nationales et de deux langues officielles: «Sans préjudice des langues nationales, les langues officielles sont le français et l'anglais.» Cependant, au plan juridique, le projet de loi constitutionnelle n'a aucune valeur pour la simple raison qu'il n'a jamais été entériné.

D'ailleurs, à la suite des résolutions du Dialogue inter-congolais de Sun City (en Afrique du Sud), du 25 février au 12 avril 2002, et à l'Accord global et inclusif sur la transition en République démocratique du Congo signé à Pretoria, le 17 décembre 2002, et adopté le 1er avril 2003, le président de la RDC du Congo, Joseph Kabila, a promulgué le 4 avril la nouvelle Constitution, ouvrant probablement la voie à la transition vers les premières élections libres dans son pays.

Les paragraphes 7 et 8 de l'article 4 de la Constitution de 2003 portaient sur les langues.  Le paragraphe 7 précisait que le kikongo, le lingala, le swahili et le tshiluba sont les «langues nationales», alors que le français était redevenu la (seule) langue officielle, l'anglais ayant été éliminé.

Rép. centrafricaine

Congo Brazza

Angola

Zambie

Soudan

Auganda

Rwanda

Burundi

Tanzanie

                Les ressources de la République Démocratique du Congo



La République démocratique du Congo est dotée d’une abondance de ressources minérales rares du nord-est au sud-est du pays (coltan, diamants, or, cuivre, cobalt, zinc, manganèse…), de ressources forestières et de faune (gorilles, okapis…) très riches et de vastes sols fertiles propres à l’agriculture (café, tabac, thé…).

Depuis longtemps, bien avant le conflit de 1998, de telles richesses naturelles ont fait l’objet de troc, de contrebande et de trafic enrichissant la classe dirigeante de l’ex-Zaïre. Elles ont toujours exacerbé les convoitises des pays voisins de la RDC, notamment le Rwanda et l’Ouganda. Elles expliquent l’occupation des provinces dans l’est du pays par les troupes rwandaises et ougandaises entre 1996 et 2002, durant le conflit. Ainsi que les luttes fratricides entre le Rwanda et l’Ouganda sur le sol congolais.

 

Pour tous congolais et investisseurs internationaux concernés par l’avenir de notre pays la République Démocratique du Congo, à savoir ;

Le potentiel énergétique, les réserves minérales de la faune et de la flore et le sous-sol congolais (que d’immenses possibilités agricoles), regorgent de potentialités minières scandaleuses, avec comme réserves connues :

- 20 milliards de tonnes de manganèse

- 110 millions de tonnes de cuivre

- 10,5 millions de tonnes de cobalt

- 20 millions de tonnes de zinc

- 15 millions de tonnes de fer

- 40 millions de tonnes d’or

- 150 millions de tonnes de minerais de niobium

- 730 millions de tonnes de carats de diamants

- 750 mille tonnes de cassitérite

- 175,500 tonnes de lithium

S’ajoute à ces richesses, près d’une quarantaine d’autres matières premières, encore non évaluées, il s’agit de substances ayant pour noms par exemple :

Amblygonite, argent, argiles, smectiquées et nobles, basnaesites, bauxite, béryl, bismuth, cadmium, charbon, chrome, diatomite, étain, gaz méthane, germanium, granite gypse, marbre, monazite, nickel, oncre, phosphate, platine plomb, pyrite, rhénium, sables asphaltites, salines, schiste bitumineux, sel gemme, silice, spodumène, talc, tantale, tungstène, uranium, vanadium, wolfram …

publicité

inScroll by ad6

Ressources énergétiques : Les spécialistes en discussion au salon de la banque mondiale indiquent qu’avec le seul site d’Inga, la République Démocratique du Congo dispose du plus important gisement de puissance hydroélectrique qui pourrait alimenter toute l’Afrique et l’Europe.

Concentrée en un même point, l’énergie sauvage qui s’y dégage annuellement est de l’ordre de 670 milliards de K.W.H.

Le cuivre : 4,48 % (la moyenne mondiale est de 1 %)

Le caoutchouc : Zinc : Argent, platine : Camiur le béryllium

L’uranium : Wolfram, Tungestène, le nickel, le niobum

Le diamant : le souffre, le gaz onéthane, le tanale, le lithium, le chrome, le fer, l’étain

Le pétrole dans toute l’étendue du pays

Les bitumes : (asphaltes et goudron) sont associés au hydrocarbures

Les réserves de bitumes du bas Congo, constituent les quatrièmes du monde

En importance et demeurent non exploitées jusqu’à ce jour.

Le soufre

Le gaz méthane

La particularité du Congo est qu’une grande partie de ses minerais constitue les réserves les plus importantes du monde non encore exploitées.

Le cobalt : 2,33 %

Le niobium

L’or : les plus grandes réserves du monde, la valeur estimée à 50 milliards de $ US

Les études montrent que les réserves d’or peuvent être exploitées de façon industrielle.

Il faut noter que l’or ne constitue plus un simple minerai précieux, utilisé aussi comme réserve de change par les banques centrales.

Dans l’industrie de pointe, l’or intervient dans la fabrication des satellites de communication et des satellites espions.

L’or étant également un excellent conducteur, il est utilisé dans la fabrication des composants essentiels des ordinateurs à savoir les microprocesseurs.

Alors que les ressources (cuivres, zinc, cobalt) sont considérables.

Selon les études géologiques menées ces dernières années, le sous-sol de la RDC, renferme des gisements de cuivre, d’argent de cadmium, mais surtout des concentrations d’or d’une teneur exceptionnelle, les spécialistes estiment que la RDC, sera à l’avenir le moteur économique d’Afrique et de l’Europe en ne considérant que le volet minier.

La RDC, possède aussi des métaux rares, utilisés dans l’industrie de pointe : le béryllium, utilisé dans la technologie des réacteurs et dans l’industrie nucléaire, le wolfram d’où est issu le tungstène résistant à des températures extrêmement élevées sous de hautes pressions (cas de lancement de roquettes et des navettes spatiales), le cobalt dont 50 % de la production mondiale vient de la RDC.

Il détient les réserves les plus importantes du monde, le nickel, le indium et le tantale classés comme les métaux les plus recherchés dans la technologie de construction des roquettes et des avions.

Le tantale ou le niobium forment avec le tungstène ce que l’on appel des alliages spéciaux tantung qui résistent à l’usure et à des températures extrêmement élevées.

Des études géologiques récentes ont révélé des réserves importantes de lithium, de nickel et de chrome à la RDC.

Le lithium est utilisé comme composant important dans la fabrication des piles de longues durée : piles d’ordinateur, piles de téléphones portables, le lithium est aussi utilisé comme combustible de bombes atomiques et de bombes à hydrogéne.

Certains composants de lithium servent de couche réfractaire aux céramiques intérieures des centrales nucléaires où se réalisent la fission nucléaire.

Le nickel est associé au minerai de fer pour produire les aciers spéciaux utilisés dans les industries lourdes :

Fabrication des locomotives, des tracteurs, des armes lourdes tels que les chars de combat.

La RDC est producteur de l’étain, il est le premier producteur mondial de diamants industriels, il produit le diamant de joaillerie dans les provinces de deux Kasaï, de Bandundu, dans la province orientale et dans la province de l’Equateur.

Faut-il rappeler que c’est l’Uranium de (Katanga) RDC qui a permis aux américains de mettre au point les bombes atomiques qui ont mis fin à la Seconde Guerre Mondiale.

La RDC possède toujours ce minerai dans son sous-sol

La RDC possède aussi d’autre ressources stratégiques.

Parmi les autres ressources naturelles stratégiques détenues par la RDC signalons les eaux douces : 7 % de réserves mondiales, le potentiel hydroélectrique dont le seul site d’Inca peut produire de l’énergie électrique demandée aujourd’hui au Nigeria, dans toute l’Afrique Centrale, en Afrique, Australie dont l’Afrique du Sud, l’Egypte, la Libye et les autres pays européens de la Méditerranée sont demandeurs du courant d’Inca.

Or, si l’Inca est l’un des sites les plus importants, il n’est pas le seul car de nombreux autres sont disséminés à travers toute la RDC. Il possède également 50 % des réserves forestières de l’Afrique, soit 17 % des réserves mondiales.

Enfin, les chercheurs belges, américains, avaient déjà estimé le pâturage naturel de la RDC à plus de 5 millions d’hectares d’où certains démographes ont estimé que le sol du Congo Kinshasa pourraient nourrir jusqu’à 850 millions d’habitants pendant 50 ans.

 

La RDC, possède presque toutes les matières premières qui font tourner tous les secteurs de l’industrie moderne. Informatique, télécommunication, production de l’énergie nucléaire, armement aérospatiale, métallurgie, pharmacie, électroménager, etc.

 

     Ne pensez vous pas que ceci est la cause de la souffrance Congolaise ?

​

Diamant

Lingot d'Or

Minerais d'Uranium

Richesse de la RDC = Souffrance des Congolais

Congo Avenir - Tabu Ley
00:00 / 00:00
PayPal ButtonPayPal Button

Sulfure de Cobalt        et  de Nickel

bottom of page