l'éducation pour tous

                     L'ÉDUCATION EST L'ARME LA PLUS PUISSANTE QU'ON PUISSE UTILISER POUR CHANGER LE MONDE ( Nelson  MANDELA )                                                                              

Les ravages des conflits

en République démocratique du Congo

Des écoles détruites et laissées à l'abandon

 

Réhabilitation et reconstruction

Des infrastructures anéanties dans les zones rurales

 

 

La scolarisation en République Démocratique du Congo est un problème crucial.

Le droit à l’éducation fait partie des droits fondamentaux reconnus à tout être humain par la Déclaration universelle des droits de l’Homme, puis consacrés dans la récente constitution de la République démocratique du Congo, approuvée par plus de 80% de la population en âge de voter lors du référendum organisé du 18 au 19 décembre 2005.

Bien que cette constitution stipule que l’éducation est gratuite au niveau primaire, plus de 50 % de la population de Kisangani ne sait ni lire ni écrire, les femmes constituant à elles seules plus de 75% des analphabètes. Et, après plus d’une décennie de guerres, d’insécurité et de pillages à répétition, le nombre d’enfants en âge scolaire qui ne vont pas à l’école ne fait hélas que s’accroître.

A Kisangani, les infrastructures sociales des zones rurales ont été fortement endommagées par une guerre civile qui s'éternise. Les écoles et les cases du corps enseignant ont servi d’abri aux responsables des milices de tous bords. Les salles de classe ont été systématiquement pillées et saccagées tandis que les instituteurs, non payés depuis plus de 15 ans en raison de la faillite de l’État, abandonnent leur poste les uns après les autres.

Dans ce contexte terrible, dévastées par la guerre, privées d'enseignants, les écoles sont laissées à l’abandon.

On imagine alors aisément le nombre d'enfants qui, faute d'école pour étudier, livrés à l'oisiveté dans cette région perpétuellement en guerre, deviennent des cibles idéales pour les milices et autres personnes malintentionnées.
 

Agir aujourd'hui

Pour enrayer cette fatalité,  en partenariat avec les organismes locaux, la Fondation " LES DESHERITES"  est engagé dans un programme de construction et de réhabilitation d'écoles à Kisangani, province de la TSHOPO  République démocratique du Congo.     

           
L'objectif principal de ce programme est de favoriser la scolarisation de tous les enfants de la région, dans de bonnes conditions, pour leur permettre à tous d'accéder à l'instruction et de participer un jour au développement de leur village.

 A ce jour, dans la province de la Tsopo, de très nombreux villages sont encore dépourvus d'école. Et c'est avec un mélange d'impatience et d'espoir que leurs enfants attendent la chance de pouvoir étudier à leur tour...

 

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La Fondation LES DÉSHÉRITÉS recherche des partenariats pour la restauration de nombreuses écoles dans cette région si meurtrie de Kisangani.

                                                      Votre participation

 

 

 

 

 

Par votre don, vous deviendrez ACTEUR de la reconstruction d'un village et de l'essor économique et social de toute sa communauté, permettant à la population de prendre en main l'avenir de son village.

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Si vous souhaitez  prendre en charge toute la réhabilitation d'une école en charge, vous deviendrez ainsi le " maître d’œuvre "du programme et pourrez en suivre l'évolution d'un bout à l'autre jusqu'à la finition des travaux et ainsi donner votre nom à l’œuvre rentrée, comme par exemple :  ÉCOLE  Saint Bernard (Don de Saint Bernard).

Conclusion,

Les enfants dans la République Démocratique du Congo en général ont vu leurs vies menacées, leurs familles déchirées, leurs écoles détruites et leur futur compromis. Nombre d’entre eux n’ont plus de foyer. Enfants de la rue abandonnés, certains accusés de sorcellerie, d’autres nés après un viol ou devenus orphelins à cause de la guerre.

Mais si les enfants sont la fraction la plus vulnérable d’une société brisée, ils comptent aussi parmi les plus résistants.

Quand une école a été détruite, ils sont capables de marcher des kilomètres pour en trouver une autre.

Ceux qui ont survécu à la guerre, maladie comme polio parviennent à jouer au foot et fabriquent des appareillages et des prothèses pour les autres jeunes handicapés.

Les filles et les jeunes femmes qui ont été violées poursuivent des programmes de formation en coiffure, couture ou cuisine. Elles trouvent un abri dans des maisons collectives où elles peuvent se remettre de leurs traumatismes, puis avec le temps, reprendre confiance en elles et envisager de gagner leur vie.

Pour de nombreux gamins affectés par la guerre, des programmes en art, basket-ball, et autres sports offrent autant de diversion que de camaraderie, élargissent l’horizon, et encouragent de nouveaux talents. 

Pour certains, ce sont les seuls points de chute qui leur permettent de rencontrer les autres et aussi de se sentir à nouveau entiers.

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Nous vous exortons  ici certaines de ces histoires pour une prise de conscience des difficultés rencontrées  dans ce pays où la guerre et ses conséquences ont fait des millions de victimes.

Nous espérons que  vous  découvrirez ici ce que nous  vivons au quotidien avec la population locale sur place, et nous tenons à vous faire remarquer  que la  République Démocratique du Congo est non seulement un champ de bataille, mais aussi l’un des endroits les plus beaux et les plus enthousiasmants sur terre avec des paysages inoubliables, une terre fertile,  de superbes volcans ainsi qu’un immense fleuve qui traverse le continent. Mais c’est aussi un hommage au courage de son peuple, surtout ses enfants exposés de plein fouet aux difficultés.

Ils prennent en main leurs propres vies dans une nation qui compte précisément sur eux pour le futur.

Nous vous remercions mesdames et messieurs,  pour  le soutient  indefective depuis la création de la fondation   pour aider les femmes et les enfants du Congo.

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Les dossiers des projets sont disponibles sur simple demande à notre siège social.

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                                Ils comptent sur vous.